L'éditeur dit de l'auteur...
Patrick Dion est né dans la grande banlieue lavalloise et il y a passé son enfance. Il habite maintenant Montréal. Depuis toujours, il aime toucher à tout. Il a été technicien, représentant, informaticien, sportif, comédien, guitariste, animateur à la radio, recherchiste à la télévision, journaliste et chroniqueur.
Pionnier de la blogosphère québécoise (il tient un blogue depuis 2002), il a conçu et animé l’émission littéraire radiophonique Mal de blog sur les ondes de CISM en 2005 et 2006. Il a également tenu, de juin 2007 à septembre 2008, une chronique sur l’univers des blogues sur le portail Branchez-vous.com. Il sévit toujours au guide des webtélés québécoises, WebTV Hebdo.
Un certain soir de l’été 2003, alors qu’il entamait Borderline de Sissi Labrèche, la déflagration se produisit. Incapable de contrer le flot d’idées qui l’envahissait, il se leva de son lit, s’assit à l’ordinateur et écrivit plusieurs heures. Une trentaine pour être précis. Il venait de trouver sa voie.
Le blogue de l'auteur
L'éditeur dit du livre...
Après une rupture particulièrement pénible, Éric, trente ans, revisite sa vie en flashs-backs et tente de comprendre ce qui l’a amené à saccager volontairement ce grand amour.
Fol allié, c’est l’histoire d’un amour perdu et de la déchéance qui s’en suit. C’est la folie quotidienne des peurs et des douleurs à surmonter, des longues minutes à essayer d’y comprendre quelque chose, des jours à en baver, à se sentir incapable de mettre un pied devant l’autre. Fol allié, c’est un roman sur l’autodestruction, sur les moyens que l’on utilise parfois pour pulvériser le bonheur quand la vie est trop belle pour être vraie. C’est un cri d’enfant blessé par l’absence morale du père, un exorcisme de démons intérieurs tenaces, une histoire de regrets amers, d’avancées à coups d’essais et d’erreurs. Mais c’est aussi une histoire bercée de complicité, gonflée de passion, teintée d’humour noir, jaune, bleu et mauve, le tout porté par une évidente fureur de vivre dans une atmosphère hyperurbaine de bars, de cafés, de rues et de ruelles que hantent des personnages poignants de vérité.
On a rarement mis en mots de façon aussi convaincante les blessures d’amour masculines dans la littérature québécoise. Patrick peint en noir et rouge. Sans fioritures. Le résultat choque, fait rire et bouleverse
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