Par Danielle Laurin
15 février 2008
Un roman fulgurantC'est vaste, inspiré, lyrique au possible. C'est un livre en feu.
C'est un roman phénomène, le premier que publie D.Y. Béchard, 33 ans, né à Vancouver d'un père gaspésien et d'une mère américaine.
C'est une fresque, une épopée, une traversée. C'est une quête incessante d'identité, une recherche inassouvie d'absolu.
C'est Vandal love ou Perdus en Amérique (Québec Amérique), couronné par le Commonwealth Writer's Prize 2007 du premier roman.
Ça commence à l'aube des années 1950, et ça se poursuit jusque dans les années 2000. Ça commence en Gaspésie, et ça nous conduit jusque dans les tréfonds des États-Unis. C'est l'histoire d'une famille. Une famille à deux clans.
Nains contre géants
D'un côté les nains, de l'autre les géants. Les nains sont fragiles, souvent malades, impressionnables. Les géants sont forts, d'emblée batailleurs, impressionnants. Mais peu importe au fond: l'essentiel est que chaque clan est fondamentalement différent.
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