Nous. Sans la passerelle que tu es vers le fantasque. Imagine mon pas de baryton, s'il n'y avait pas tes objections de fée clochettes, tes semonces de sorcière, tes scarifications de tomboy sorti tout droit d'un manga.
Imagine-nous sans toi.
Je ne suis un roc que parce que tu es un feu, explosif mais sans artifice. Imagine que le feu ronge la mer de tes yeux.
Imagine-moi.
Un récif.
Vive les dilemmes en soi ceux qui font que l'on est soi.
J'aime ta poésie.
Rédigé par : Venise | mardi 05 oct 2010 à 11:57