Elles reviennent de façon constante ces questions du bonheur et du malheur, du malheur et des mésaventures. Et les réponses reviennent aussi, plus solides qu'avant, plus ancrées.
Je ne suis pas malheureuse. Je n'arrive juste pas à voir la vie comme un passage léger. Pour moi l'intérêt est dans la profondeur. Dans ce qui se cache sous les couches de peinture qui s'effritent sous les vents.
J'ai vu, il y a quelques temps, un reportage sur les figures géométriques complexes que les architectes musulmans utilisaient pour décorer les mosquées. Des siècles avant de découvrir une formule mathématique utilisée pour quelque chose d'aussi futile que la décoration!
Pas si simple! D'abord décorer ce n'est pas si futile, c'est dire. Décorer c'est dire, comme écrire, comme chanter. Et ensuite il est fascinant de voir que derrière ce qui semble une évidence (des motifs décoratifs) se cache autre chose. La science, ou Dieu, ou autre chose.
Il n'y a que ça qui me pousse, finalement, à courir cette vie: cette certitude que derrière les évidences se cachent des motifs qui méritent d'être mis en lumière. Pour mieux comprendre. Pour la lumière.
Et pour l'instant je n'ai qu'un constat: mon motif, c'est le triangle! (Damn!)
À suivre...
Le triangle ?
Pas le triangle amoureux toujours ;-) !
Rédigé par : Venise | mercredi 23 déc 2009 à 11:38
un peu de patience madame, on anticipe pas trop!
Rédigé par : Catherine | mercredi 23 déc 2009 à 11:41