Texte soumis au Coïtus
Les ailes de l’hystérie bercent mon corps inconfort, dans la persistance de ton absence.
Comme le vert éphémère. Une rencontre et un œil petit posé au cœur de nos charpies.
J’ai dans ma voix en poussière les mots trop durs qui moisissent dans le coin des murs.
Les impossibles fleurissent toujours trop tôt au cœur des printemps sous zéro.
Et je devrai admettre plus tôt que tard que c’est moins dans un baiser infini que dans une main sur ton front que je te partagerai le miel de la vie.
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