Talon de grand garçon et taille de ruche à la courbe niche. Cette parfaite ligne animale, longitude parallèle, centrifuge universel. Son pantalon est icône. Du toit de Béring au blanc de l’Everest, il n’a pas talonné la peur, ni la douleur. Toujours en connaisse de l’aisance. Porteur de couleur le Paul, mais il avait le pantalon Panthéon. D’un blanc délavé, d’un noir erroné. Séché au soleil de l’été. Admiré au coton. Navigable en liaison. Retirable en tirade amirale. Pas besoin de caleçon quand le pantalon est en union. Rien à cacher en vile guenille. En ville sans les chenilles. En course sans les chevilles. Le pantalon de Paul est en mode automatique. En dehors automatiste. En soir moderne. En or impressionniste. Quelle belle somme cet homme en pantalon de Paul. L’équation est perfection. Le toucher, c’est l’enfiler.
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