Gilbertine est une belle femme. D’aucun la dirait sulfureuse. Untel la prendrait pour une bombe. Le quidam l’entendrait ainsi parce qu’il la verrait pulpeuse, généreuse, aguicheuse même.
Mais voilà. Elle s’appelle Gilbertine…
Et là, avouez que ce n’est pas une sinécure !!!...
Blonde à forte poitrine et elle s’appelle Gilbertine !!! Nan, mais des fois… j’vous jure !!!...
Elle s’appelle Gilbertine et c’est donc là son drame. (Là vous finissez par comprendre, non
Un beau matin – parce que les histoire commencent parfois par « un beau matin » - Gilbertine « ouvrit la porte du jardin et s’en alla dans les grands prés verts »…
Après une demi heure de marche (pas si facile quand on a des talons de 10 cm de haut), Gilbertine se sentit épuisée.
Elle s’allongea quelque temps dans les herbes hautes afin de trouver le repos bien mérité de l’aventureuse pulpeuse qu’elle était.
« A l’heure où blanchit la campagne », (vers 15 heures, 15 heures 37 à peu près), Gilbertine entendit le son d’un moteur. C’était un agriculteur du coin qui venait dans le pré voisin pour nourrir son cheptel de vaches. (Cela n’a aucune importance pour mon histoire, mais ça donne une idée de ce que faisait l’agriculteur là).
Gilbertine le héla :
« Monsieur !!! Sauriez-vous m’aider ? Je suis là et lasse depuis plusieurs heures et ne peux retourner chez moi par mes propres moyens qui se résument à deux chaussures à talons… »
Saisi de pitié, et devant tant de charmes (surtout), notre brave compère permis donc à Gilbertine d’escalader le marche pied du tracteur et la ramena à sa demeure.
Bien sûr, il lui demanda son prénom…. Et là….
Et bien, là, avec tout le bruit du tracteur, il n’entendit pas la réponse.
Les attributs de la belle avaient de toute façon suffit à le convaincre de lui venir en aide…
C’est pour cela que ce jour là, elle fut sauvée par ses attributs. (Nan, voilà, c’est tout…)
Les commentaires récents