Devant la terre bénie des hauts murs
Tu regardes philosopher les sables
Ils te chantent les voies de l’orient
Te murmurent les larmes de l’Afrique
Tu attends seule dans l’obscurité manuscrite
Patientant là depuis l’avant des livres
Même l’hégire ne connaît ton âge
Mais tu sais que la caravane reviendra
Pour toi, par une nuit chaude
À Tombouctou
Le carnet de l'auteur
C'est toujours un peu trop lointain.
Bravo.
Rédigé par : JP | 05/10/2005 à 12:54
Merci JP
J’ai bien peur, en effet, qu’elle doive attendre longtemps…
Les liens Touaregs ont été en grande partie rompus
par les reliquats de la colonisation
dans l’ancien royaume du Soudan
Rédigé par : Yann | 06/10/2005 à 05:12