Apercevant la voiture de police, Armelle se dirigea vers les deux policiers.
Elle approcha de la vitre son nez couperosé comme un champignon vénéneux.
Sans se consulter, les « parasites » estimèrent qu’ils n’avaient rien à faire ici et que cette sorcière-là était suffisamment laide pour être sauvée par ses attributs sans intervention de leur part.
- Vous n’avez rien remarqué de suspect ? questionna-t-elle.
En fait, dans ce quartier, rien ne paraissait normal.
Le carnet de l'auteur
Pauvre Armelle...elle n'a pas de pot d'avoir un si vilain nez...bourgeonnant !
Rédigé par : wictoria | 03/10/2005 à 02:53
J'admire comment Dan arrive à conserver la continuité d'un de ses textes à l'autre...
Rédigé par : Fuligineuse | 03/10/2005 à 08:25