Un chant aigu monte vers les fenêtres Aux fils de linge lourd suspendu Des larmes coulent sur les carreaux Aux accents graves des trémolos D’une môme chétive vêtue de noir Entamant l’air de ses mains Au fond d’une cour sombre pavée Clamant l’amour à perdre l’âme A la lueur d’un lampadaire Petit bout de femme échevelée, De toute sa gouaille elle perce les cœurs Sa voix retrace les parcours Des amours mortes ensorcelées D’une jeunesse de saltimbanque Aux yeux grands ouverts sur la rue.
Elle se sent libre comme un moineau,
Lorsqu’elle rencontre P’tit Louis,
Mais l’amour meurt comme les enfants,
Dans le Paris d’entre deux guerres,
Courant Belleville, ou bien Pigalle,
Sa voix résonne dans toutes les rues
Elle charmera le Tout Paris
Sous l’impulsion d’un autre Louis
Qu’elle séduira de sa voix de PIAF,
Et l’engagera à venir chanter
La tragédie des vies humaines.
Elle fut sauvée par sa voix d’or,
qui était son seul attribut.
pour Anne Art chais vraiment géniale
mais les autres pâles copies... cow pie... suivez mon regard...
mate la donz...
vins (vingt vains)
de Bordeaux, de Bourgogne, d'Anjou, d'Alsace, de Provence, de Savoie etc
pas parigot ni marseille (pastis/absinthe) ni nice prononcé avec l'accent anglais comme brice de nice
sauvée par ses attributs
à tribut du su j'ai
à tribu du sujet
attribut du sujet
attributs du sujet
à tri(que) bu(e) du su(cre) jet... j'ai
quand on "come" on hante
quand thon comme on entre
quand on commente
Clin d'oeil à chrys pour sourire et sincère pour encre de chine
pimentrouge
Rédigé par : pimentrouge | 04/10/2005 à 00:23