(Les fautes de frappe et de tournure sont pour une fois ni un hasard, ni une coïncidence!)
My chérie, elle a escape, échappée comme vous dites in french.
Alors je l’attends depuis son return, sans recherche, just «wait and stay» : si vous la voyiez! Dès son entrée tout le monde est émeurveillé de sa beauty.
Mais il y a des choses qu’on ne peut control, ni command, même avec des petites pause.
On ne peut arrêt le défilement.
Depuis le début j’écris son nom en majuscules, tandis que je n’aurais été important dans son cœur que temporaire, à l’origin peut-être? Mais on dirait en fait que rien de ce que je fais ne l’imprim vraiment dans ses sentiments. Tout lui semble égal. Sans préférence.
Maintenant, c’est la fin, je ne suis que minuscule in her eyes. Elle est toute verrouillée.
Et je n’ai plus aucune option. J’aimerais tant pouvoir faire un control Z, un annuler, toucher la pomme magique de la dernière lettre de l’alphabête. Réécrire notre histoire.
Mais de notre romance elle ne veut rien enregistrer de plus.
Elle veut tout effacer. Ne plus s’afficher seulement avec moi. Me quitter, that’s all.
Je crois qu’en fait elle n’a rien de serious à me reprocher. May be je ne suis pas assez un top model, that’s all.
Et comme dans un mauvais dream, il y a un chanson de Gainsbourg qui sonne à mon zoreille:
Comme une preumonition, vous dîtes.
«La beauty cachée, delete, delete, se voit sans, delete, delete…»
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