Dans la plus parfaite inconscience, Armelle venait d’échapper, par deux fois, à une mort atroce.
Après son mystérieux appel téléphonique, elle descendit au pied de son immeuble pour s’assurer de la protection de la police promise par l’inspecteur Marfau.
Deux auxiliaires de police planquaient dans une voiture de service, une rue transversale et un état comateux.
Au commissariat, on les appelait « les parasites » sans que l’on sache vraiment s’ils devaient ce surnom à leur réputation de pique-assiettes, leurs dons pour la filature ou le site internet qu’ils avaient créé www.parasite.fr
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