Serrer ton corps contre mon corps. Encore, comme toujours à travers les dizaines de siècles, les dizaines de chuchotements anonymes, comme pour toujours à travers les rires et les larmes, comme à jamais dans les cris et les supplications, les regards et la séduction.
Un léger frôlement d’un épiderme contre l’autre, deux poitrines entrant en douce collision, les bras qui entourent pour dire quoi ? Je t’aime, je te veux, je veux que tu m’aimes, je te protège, protèges-moi, je veux rompre la solitude en une fraction de temps pour une seule fraction de vie. L’unique inénarrable, l’unique frôlement, les tissus s’affinent encore entre les corps, les bras collés, les jambes tendues, le cœur au bord du précipice. Serre-moi encore. Surprends-moi encore.
Hum! J'aime.
Rédigé par : Cindy | 31/08/2005 à 21:49
Très beau texte mais jene suis pas sûre d'en avoir saisi le sens profond
Rédigé par : Claire | 01/09/2005 à 07:25
C'est du plaisir ... et c'est la surprise à chaque plaisir.
Rédigé par : cindy | 02/09/2005 à 09:50
Même approche que Cindy! Encore, encore.
Rédigé par : Minnelli | 03/09/2005 à 09:25